Retour en classe pour les écoliers, élèves et étudiants du Burkina Faso mis en congé forcé depuis le 24 février 2011. Le gouvernement avait suspendu les cours dans tout le territoire après les violentes manifestations qui avaient fait six morts dans le centre-ouest du pays. A l’origine de ce mouvement de colère, la mort suspecte d'un élève dans un commissariat. Le gouvernement qui a pris des mesures d’apaisement a annoncé la reprise des cours le 7 mars 2011. Il a mis à profit ce temps pour es...lire la suite

Dans le nord de la République centrafricaine (RCA), des décennies de violences politiques ont causé beaucoup de destruction et de nombreux déplacements. Le secteur de l’éducation a été gravement touché par une sévère pénurie d’enseignants et d’infrastructures adéquates. Pour des milliers d’enfants, la classe ne se déroule pas dans de solides bâtiments en briques, mais dans des « écoles de brousse » rudimentaires. Selon l’UNICEF, il y a plus de 5 000 enfants en âge de fréquenter l’école primai...lire la suite

Le Recteur de l’Université virtuelle africaine (UVA) a soutenu le 2 février à Dakar que l’enseignement à distance, ou e-learning, pouvait être une alternative à la réponse aux défis auxquels fait face la profession enseignante dans le continent. L’UVA, depuis sa création en 1997, a formé au moins 40.000 étudiants en Afrique francophone, anglophone et lusophone. Selon le vice-Recteur de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD), suite au succès rencontré par ce projet dans sa phase pilote,...lire la suite

Pambazuka News a le plaisir d'annoncer son appel à soumissions pour la première édition du Prix Samir Amin. Ce prix annuel, lancé à l'occasion de 80e anniversaire de Samir Amin en 2011, rend hommage à l'extraordinaire contribution faite par ce dernier pour notre compréhension de l'exploitation des peuples d'Afrique et des pays du Sud.

La crise politique en Côte d'Ivoire frappe un système éducatif déjà bien endommagé. Des coups de feu perturbent les cours, des professeurs sont absents pour raisons politiques et les familles sont de plus en plus inquiètes pour la scolarité de leurs enfants. Aujourd’hui, à cause des conséquences chaotiques des élections présidentielles, les élèves sont « pris en otage », comme l’explique un éducateur. Parents et professeurs craignent que l’année scolaire 2010-2011 ne soit perdue. Plus d’une s...lire la suite

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