Les dirigeants de l’opposition radicale regroupée au sein l’Initiative pour la démocratie au Congo et le Front républicain pour le respect de l’ordre constitutionnel et l’alternance démocratique ont dénoncé, samedi 2 janvier, à Brazzaville, la volonté du président Denis Sassou N’Guesso d’organiser la présidentielle au premier trimestre 2016 au lieu de juillet, relevant son caractère «illégal» et posant dans la foulée des préalables à leur participation à ce scrutin. Pour garantir la paix dans...lire la suite

Le gouvernement vient de fixer, au terme du dernier conseil des ministres de l'année 2015, la date de la première échéance de l'élection présidentielle en 20 mars 2016. "Le bon sens commande que l'élection présidentielle soit, après le vote de la nouvelle Constitution, le tout premier acte qui consacre l'entrée effective dans la nouvelle République. La césure entre les deux Républiques datera du jour de la prise de ses fonctions par le nouveau président de la République", indique le compte re...lire la suite

La Cour constitutionnelle des Comores a déclaré recevables vingt-cinq candidatures à la présidentielle de février et avril prochains. Un record, un chiffre jamais atteint dans l’histoire des élections présidentielles aux Comores. Pour la majorité des Comoriens, cet «engouement est inquiétant». Mais si cette pléthore de candidats est si négativement jugée par la majorité, d’autres croient que c’est une bonne chose. «Plus les candidats sont nombreux, plus le choix sera aisé pour les électeurs».

Dans trois mois environ Boni Yayi ne sera plus le président de la République du Bénin. Il a fait ses deux mandats et ne peut plus en briguer un autre. D’ailleurs, lui-même a déjà fait ses adieux aux députés à l’occasion du discours sur l’état de la nation. Discours qui a pris l’allure d’un bilan de ses deux mandats. Seulement, Yayi a évité d’évoquer beaucoup de sujets dont des promesses qu’il a faites au peuple et qu’il n’a pas tenues…

Sous la férule de Michel Kafando, extirpé de sa retraite rurale de Dayoubsi où, pour l’essentiel, les Burkinabè l’avaient oublié, et sous le regard des leaders des partis politiques peu enclins à mettre les mains dans le cambouis de la «transition», le Burkina Faso tenté par une «révolution» s’est adonné à une «transition» qui, finalement, aura atteint son objectif : organiser sans coup férir des élections couplées, présidentielle et législatives. Récit

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