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Dans un rapport évoquant le projet de "renouvellement urbain" de la ville portuaire de Port Harcourt, Amnesty estime que les autorités nigérianes violent le droit international et poussent de nombreux citoyens en situation précaire vers davantage de pauvreté. L'organisation évalue "entre 200 000 et 500 000" le nombre de personnes qui pourraient être affectées. Elle demande aux autorités d'"arrêter immédiatement toutes les évictions forcées" et ce jusqu'à ce que ces opérations se déroulent en accord avec "les standards internationaux en matière de droit de l'Homme".