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Le nouveau ministre de l'Intérieur égyptien a promis que les lignes téléphoniques privées ne seraient plus mises sur écoutes sans autorisation, révélant l'étendue du contrôle exercé sur la société sous le régime autoritaire du président Hosni Moubarak. Ses déclarations interviennent sur fond de contestation du tentaculaire appareil de la sécurité d'Etat, l'un des piliers du système répressif et régulièrement accusé de tortures du temps d'Hosni Moubarak, dont les manifestants pro-démocratie réclament la dissolution.