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Pour certains Egyptiens à l'étranger, suivre la contestation populaire à la télévision n'était pas suffisant. Il leur fallait traverser l'écran, rentrer d'urgence au pays pour participer à la "révolution”. Tarek Shahin, un gestionnaire de fonds habitant aussi à Londres, était en déplacement professionnel au début des manifestations le 25 janvier. Trois jours plus tard, de retour dans sa ville d'adoption, il a allumé la télévision et vu les images des émeutes à travers le pays. Et le déclic s'est produit.