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"Il y a une trentaine d'années, il était encore fréquent de rencontrer des troupeaux d'éléphants traversant la route à la sortie sud de N'Djamena", se rappelle Hassan Nago, 65 ans, fonctionnaire retraité. Mais aujourd'hui, la végétation luxuriante d'antan a laissé place au vide. Au niveau du village Toukra, à une dizaine de kilomètres de la capitale tchadienne, sur la route nationale qui mène vers le sud du pays, la faune discutait la route aux voyageurs, souligne Nago.