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La décision de la Banque Mondiale de suspendre ses prêts au Tchad après que ce pays a indiqué qu’il détournerait les revenues du pétrole pour alléger la pauvreté serait un geste symbolique pour esquiver l’action de la banque dans des projets similaires comme le gaz, disent les experts. La semaine dernière le bailleur de fonds public basé a Washington a menacé de suspendre un prêt de 124 millions de dollars au Tchad, un des pays les plus pauvres du monde, après que son gouvernement a amendé une loi contrôlant les revenues du pétrole, contre l’avis de la Banque Mondiale.