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Amnesty international remet en cause la parole de Shell dans une affaire de pollution dans le delta du Niger. L'Ong a présenté jeudi 7 novembre un rapport sur les marées noires qui touchent les côtes du Nigeria. En 2008, deux fuites de pétrole ont affecté 49 000 villageois. Le pétrolier anglo-néerlandais reconnaît sa responsabilité. Mais, selon Shell, la fuite représenterait 4 000 barils de pétrole et le reste de la pollution viendrait du sabotage de ses installations par les communautés locales. Amnesty international a demandé aux experts d'Accufacts, spécialiste américain des oléoducs de mener leur propre enquête.