mar 31, 2006
Les interruptions brusques et longues de courant étant devenues quotidiennes dans la plupart des quartiers de Dakar et de sa périphérie, les gens hésitent à sortir le soir, par peur des agressions, et la conservation des aliments préoccupe de plus en plus les ménages. «Avec ces délestages, je me demande ce qu’on ose mettre dans notre frigo», explique Bator Sall, en rechargeant son téléphone portable sur une prise électrique de son bureau, puisqu’il n’a pu le faire la veille à son domicile, faute d’électricité.
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