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Théâtre, en fin de semaine dernière, de deux jours de folie meurtrière, Jos, cette ville du centre du Nigeria, toujours quadrillée par un lourd dispositif militaire, s'efforce de faire disparaître les traces des affrontements qui ont fait au moins 200 morts. Dans les quartiers les plus touchés par les heurts qui ont mis aux prises vendredi et samedi musulmans et chrétiens se disputant la victoire d'une élection locale, les voitures brûlées se comptent par centaines.