Version imprimableEnvoyer par courrielversion PDF

Le premier choc, c’est l’odeur. Celle des excréments, engluée dans une humidité poisseuse impossible à chasser dans ces couloirs sans lumière. Chaque semaine pourtant, les bénévoles de la fondation Amigo, des religieux catholiques pour la plupart, aident les enfants de la prison pour mineurs à Abidjan à balayer leur dortoir et à récurer les sanitaires, constamment bouchés. Reportage…