avr 17, 2011
"Ne me tuez pas!": ce sont les premiers mots qu`a prononcés, selon un témoin, l'ex-président ivoirien Laurent Gbagbo quand ses tombeurs sont venus le chercher le 11 avril à sa résidence d'Abidjan, épilogue en queue de poisson d'une décennie de règne mouvementé. "Ils lui ont fait porter un gilet pare-balles et puis le commandant Vetcho, le commandant Wattao, Chérif Ousmane, Morou Ouattara (trois autres chefs FRCI) ont formé un blocus pour le protéger parce que certains de nos éléments voulaient en finir avec lui tout de suite".
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