Les recommandations prioritaires établies par le comité des droits de l’Homme, qui a analysé le Burundi à Genève les 8 et 9 octobre 2014, doivent être mises en vigueur avant le 31 octobre 2015. D’après ce rapport final sur le Burundi, le Comité des droits de l’homme s’inquiète du nombre important de meurtres attribués à des membres des forces de sécurité sans qu’il y ait des enquêtes. Il demande que des enquêtes impartiales et efficaces soient menées pour identifier et condamner les responsables. Le Burundi devra donc, d’ici l’année prochaine, avoir mené des enquêtes impartiales et efficaces pour identifier les responsables et les condamner à des sanctions appropriées. Il en va de même pour les cas de torture par les forces de défense et de sécurité, les services de renseignements où l’impunité des responsables se remarque.
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