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La Cour d'appel de Paris a décidé de renvoyer au 23 octobre prochain, l'examen de la demande d'extradition de l'homme d'affaires béninois, Patrice Talon et de l'un de ses proches, Olivier Boko, tous deux, exilés en France, pour avoir été accusés de commanditaires des dossiers relatifs à la "tentative d'empoisonnement du président Boni Yayi" et à celle "de tentative d'atteinte la sûreté intérieure de l'Etat", pour lesquels plusieurs personnes sont emprisonnées et des mandats d'arrêts internationaux lancés contre d'autres.