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Autrefois cantonnés au marketing et aux audiences télé, les instituts de sondage tunisiens découvrent, grâce à la révolution, un nouveau terrain : la politique. Mais à deux mois de l’élection du 23 octobre, leur crédibilité est sujette à caution, faute de cadre légal. Une critique qui rejoint celles formulées à l’encontre des instituts de sondage sur une méthodologie jugée opaque : notification aléatoire du commanditaire, échantillonnages peu représentatifs, questionnaires orientés...