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Au Tchad, les grossesses d'adolescentes, au même titre que la mortalité maternelle et infantile qu'elles peuvent causer, restent un problème de santé publique que les autorités peinent à résoudre, en dépit des efforts et moyens déployés. "Sur l'ensemble des filles de 15 à 19 ans, un peu plus de 36% des cas ont eu une naissance vivante, 44% ont commencé leur vie féconde et 7% ont eu une naissance vivante à 15 ans", a déclaré le chargé de Programme Population et développement du Fnuap au Tchad.