déc 06, 2010
Tous les moyens sont bons pour s’attirer les faveurs de l’électorat féminin, y compris les plus insolites. Un homme politique de l’opposition ougandaise, Stanley Kalembaye, a demandé le 2 décembre à ses partisans d’observer une « grève du sexe » pour dissuader leurs épouses de voter pour le parti au pouvoir lors des élections générale de février 2011. La grève du sexe a déjà été utilisée comme arme politique dans certains pays d’Afrique. Mais jusqu’ici, c’est dans l’autre sens que le chantage sexuel s’exerçait.
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