fév 20, 2010
Marchés, banques et écoles ont ouvert comme à l'accoutumée le 19 février à Niamey, au lendemain du coup d'Etat qui a mis fin à la présidence de Mamadou Tandja.? Les seuls soldats dans les rues étaient des militaires en patrouille, équipés d'armes légères. ?La communauté internationale a condamné le putsch au Niger mais diplomates et analystes estiment qu'il pourrait ouvrir la voie à la tenue d'élections dans ce vaste pays d'Afrique de l'Ouest producteur d'uranium.? La présidence de la Commission de l'Union africaine (UA) a réclamé "le retour rapide à l'ordre constitutionnel" et a réaffirmé "la disposition de l'UA à faciliter un tel processus, en étroite collaboration avec la CEDEAO".
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