aoû 08, 2009
Alors que le Zimbabwe connaît une vague d’arrestations de politiciens, le ton monte entre le parti de Robert Mugabe et ses alliés de l’ancienne opposition, qui l'accusent d’instrumentaliser la justice pour recouvrer la majorité parlementaire. Douze membres du Parlement et un sénateur, suspectés de terrorisme, de corruption ou encore de viol, sont actuellement dans le collimateur de la justice zimbabwéenne. Ils ont pour point commun d’appartenir au Mouvement pour le changement démocratique (MDC), l’ancienne force principale de l’opposition zimbabwéenne avant qu’elle ne décide du partage du pouvoir avec le président Robert Mugabe, en février dernier.
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