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Descente de police chez l'ambassadeur marocain à Paris, convocation de son homologue français à Rabat... Les relations franco-marocaines, d'ordinaire bien cadrées, ont subi un sérieux coup de froid. C'est la démarche d'une Ong française qui est venu gripper l'entente bilatérale. L'Action des chrétiens pour l'abolition de la torture (Acat) a saisi l'opportunité de la présence en France du patron du contre-espionnage marocain pour demander aux autorités d'entendre ce responsable qu'elle accuse de "complicité de torture". Rabat rejette "catégoriquement" les accusations portées contre le directeur général de la Dgst, estimant qu'elles sont "sans fondement".