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La Haute autorité de la transition (HAT) se trouve à nouveau la croisée des chemins. Andry Rajoelina devra réagir après les tentatives infructueuses de recherche de reconnaissance, ou du moins de prestige international. Il devra choisir entre le maintien du cap actuel ou bien la politique de l’assouplissement et le retour à la table des négociations pour gérer la transition. Andry Rajoelina a quitté les États-unis le 26 septembre très tôt, sans attendre la fin de la session de l’assemblée générale des Nations unies où il n’a pu prendre la parole. Il semble multiplier les contacts pour affiner la position qu’il va adopter, à moins de préparer le terrain aux négociations.