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Sinistré, au bout de souffle, pris en otage. Ce sont les termes utilisés par les opérateurs intervenant dans le tourisme pour expliquer la situation de ce secteur, avec l’absence de visibilité sur la reprise des vols de la compagnie Air Madagascar, et dont les activités touristiques en sont fortement dépendantes. Une baisse de fréquentation de moins 60 à 70% en moyenne dans toutes les régions, des chômages techniques ont été les impacts évoqués par le président du Conseil d’administration de l’Office national du tourisme de Madagascar.