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Le pays va mal, malgré les beaux discours des nouveaux dirigeants malgaches. Les trafics de tout genre se poursuivent impunément sous le regard complice d’une administration notoirement corrompue. La dilapidation des deniers publics se poursuit de plus belle au détriment d’un citoyen lambda pompé par le fisc. Une autre forme de dilapidation, moins spectaculaire, concerne les deniers publics. Des matériels roulants de l’Etat sont entre les mains des dirigeants puis mutés sitôt en leurs biens personnels. Ils servaient depuis quelques années les caprices des particuliers qui jouissaient des avantages en carburant et autres accessoires au frais du contribuable.