fév 26, 2008
Correctif : Une organisation de la société civile, les Kenyans pour la Paix, la Vérité et la Justice (KPTJ), a lancé un ultimatum de 14 jours au gouvernement par le biais de son principal conseiller juridique, le procureur Amos Wako, pour qu’il ouvre une enquête sur les 22 membres de la Commission électorale du Kenya (ECK) avant de déclencher des poursuites contre les commissaires pour avoir présidé des élections frauduleuses. Les contestations du scrutin de décembre dernier ont plongé le Kenya dans une crise qui a fait un millier de morts (et non un million, comme écrit dans notre précédente édition) et plus de 200 000 déplacés.
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