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Le gouvernement guinéen envisage la mise en place d'une force de sécurisation du processus électoral, qui sera constituée de près de 20 000 hommes, et dont l'intervention va se dérouler avant, pendant et après la présidentielle du 11 octobre. Quelque 8 855 agents seront fournis par l'état-major de la gendarmerie nationale, tandis que la police nationale va contribuer à hauteur de 8 925 agents. A ceux-ci il faudra ajouter 1 133 hommes issus des rangs de la protection civile. Ces agents dépendront d'un commandement spécial pour sécuriser le processus électoral.