fév 12, 2012
Il y a un an, les Égyptiens de la place Al-Tahrir réclamaient - et obtenaient au bout de dix-huit jours - le départ de Hosni Moubarak. Aujourd'hui, la place est toujours l'épicentre d'une contestation qui ne faiblit pas. La liesse du 11 février 2011, date de la démission du dictateur, a cédé la place à la colère et à la frustration, mais aussi à la lassitude et à la résignation. Car, de toutes les révolutions arabes, la révolution égyptienne est sans aucun doute la moins achevée.
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