mai 22, 2011
Le sort de l'ex-président Hosni Moubarak et de sa famille met en difficulté le nouveau pouvoir égyptien, pris entre une forte pression pour que le raïs déchu soit jugé et la tentation d'éviter un procès et une incarcération embarrassants. L'évocation dans la presse d'une possible amnistie s'est heurtée à un tir de barrage des mouvements à l'origine du soulèvement qui a renversé le régime, traduisant l'extrême sensibilité du sujet. Des organisations de jeunes internautes, très actives durant la révolte, ont menacé de descendre à nouveau dans la rue si une mesure de clémence était envisagée.
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