avr 03, 2006
Répondant à une lettre du ministre de l’Economie et des Finances l’informant de son intention de déposer plainte contre plusieurs directeurs de journaux, Reporters sans frontières fait le point sur sa position face aux dérives d’une certaine presse camerounaise. Elle explique notamment pourquoi les peines de prison pour les délits de presse ne permettent pas de rendre réellement justice aux personnes diffamées.
- Identifiez-vous pour poster des commentaires
- 251 lectures