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Au lendemain de la dissolution du gouvernement décidée par le président Gbagbo, l'opposition appelle à la mobilisation contre "cette dictature". Le 13 février, elle a parlé de «véritable coup d'Etat » au lendemain de la dissolution du gouvernement et de la Commission électorale indépendante (CEI), appelant à "s'opposer par tout moyen à cette dictature". Le Rassemblement des Houphouétistes pour la Démocratie et la Paix (RHDP), une coalition de l’opposition, déclare qu’elle "ne reconnaît plus Laurent Gbagbo comme chef de l'Etat de Côte d'Ivoire" et « ne reconnaîtra ni la nouvelle CEI ni le nouveau gouvernement en formation »