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Le désarmement et la réinsertion des Forces nouvelles constitue un véritable casse-tête pour le gouvernement ivoirien. Lequel éprouve des difficultés pour payer le montant de 500.000 F Cfa promis à chaque ex-combattant et ex-membre des groupes d’autodéfense, comme l’a recommandé l’accord signé le 22 décembre 2008. Selon le représentant du président burkinabé, médiateur du conflit ivoirien, il est urgent, «au regard des difficultés de financement, de statuer sur l’orientation définitive à donner à la suite de ce programme. (…), qu’avec l’engagement de tous, un choix définitif soit fait pour le devenir de ces ex-combattants».