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La Côte d’Ivoire tente d’offrir une porte de sortie honorable pour son diamant estampillé de « diamant de guerre » et sous embargo du Conseil de sécurité de l'Onu depuis 2005. Le lundi 6 mai, Abidjan a abrité un atelier sur « l'exploitation artisanale et à petite échelle des diamants » dans l'espace de l'Association des pays africains producteurs de diamants (Adpa). L'objectif de cette rencontre était de définir le rôle du gouvernement et de s'accorder sur les mesures administratives que les Etats de l'Adpa peuvent adopter afin de formaliser l'exploitation du diamant.