juil 18, 2009
Le président béninois, Yayi Boni, ne contait donc pas fleurette à son peuple lorsqu’il prévenait, lors de sa campagne présidentielle, que la corruption et les malversations ne seraient pas tolérées au cas où il serait élu président. L’ex-ministre de l’Economie et des finances, Soulé Mana Lawani et le ministre de l’Urbanisme, François Noudogbéssi, en ont fait l’amère expérience, respectivement le 9 juin et le 10 juillet 2009. Convaincus de mauvaise gestion et de malversations financières, ils ont été limogés.
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