Le pardon accordé à Patrice Talon et consorts par Boni Yayi pourrait ne pas suffire pour définitivement clore les affaires de supposées tentatives d’empoisonnement et d’atteinte à la sûreté de l’Etat. Les détenus libérés ont, semble-t-il, beaucoup de choses au travers de la gorge. La justice n’a pas pu aller au bout des affaires de supposées tentatives d’empoisonnement du chef de l’Etat et d’atteinte à la sûreté d’Etat. Elle est obligée d’abandonner les charges contres les prévenus dans ces affaires, après le pardon accordé par le président de la République aux mis en cause. Le 16 juin prochain, ces deux affaires seront définitivement vidées par la Cour d’appel de Cotonou. Mais qu’en est-il réellement de ces affaires ? Aucun des détenus libérés n’a reconnu la véracité de ces deux affaires.
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