juin 26, 2011
La Chine a reçu à Pékin le président du Conseil national de transition libyen, déclarant que cet organisme était un "interlocuteur important". Pour Jean-Pierre Cabestan, directeur du Département des études internationales de l’Université baptiste de Hong Kong, « la Chine fait preuve de pragmatisme, elle prend en compte la réalité du terrain. Elle a vu que Mouammar Kadhafi a perdu l’appui de la Ligue arabe et de la Russie et que la situation est plutôt favorable aux rebelles. De plus, les relations qu’elle entretenait avec lui se sont distendues, Kadhafi ayant de mauvais rapports avec certains dirigeants africains amis de la Chine. »
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