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"Les habitants de Harare considèrent qu'ils vivent avec une bombe à retardement qui a pour nom choléra. Alors que la capitale zimbabwéenne se bat pour nettoyer ses rues et entretenir les égouts, cette maladie a déjà coûté la vie à 27 personnes", rapporte le Mail & Guardian. De plus, une humidité inhabituelle aggrave le problème, précise l'hebdomadaire sud-africain dans sa version en ligne. "Les habitants de Harare considèrent qu'ils vivent avec une bombe à retardement qui a pour nom choléra.