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La chambre d'accusation de la cour d'appel de Sousse a décidé, hier, d'accorder la liberté provisoire à l'activiste du mouvement Femen, Amina Sboui. Celle-ci est accusée d'avoir écrit le mot «Femen» sur le mur extérieur du cimetière de la ville de Kairouan, le 19 mai dernier, lorsque les autorités avaient interdit la réunion du congrès d'«Ansar Echaria» qui n'avait pas demandé d'autorisation.