avr 15, 2008
L’abandon, en 2003, de la chloroquine comme traitement préventif et curatif du paludisme, encore impensable au début des années 1990, a eu une incidence positive sur la lutte contre le paludisme au Sénégal, selon un chercheur de l’Institut de recherche pour le développement (IRD) basé à Dakar. La prévalence du paludisme est tombée autour de 2% dans les zones urbaines et touche essentiellement les enfants âgés de 0 à 6 ans.
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