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"Ma fille avait à peine 15 ans et je l'ai définitivement perdue", raconte Laurinda Chirindza, en pleurant cette adolescente morte en 2006 à l'hôpital de Maputo, après un avortement clandestin. Une centaine de femmes meurent chaque année au Mozambique à la suite d'un avortement. "Beaucoup d’autres en gardent de graves séquelles", indique un rapport du ministère de la Santé.