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Soixante-dix-neuf personnes ont trouvé la mort et plus de 800 autres souffrent d'empoisonnement depuis le 7 mars à Tripoli, après avoir consommé de l'alcool frelaté au méthanol, selon un nouveau bilan du ministère de la santé arrêté jeudi 14 mars. Cette vague d'intoxication est due au méthanol contenu dans une boisson alcoolisée de fabrication locale, appelée Boukha (eau de vie) en Libye. Utilisé comme carburant, le méthanol est parfois ajouté en petites quantités aux boissons alcoolisées locales clandestines pour augmenter leur teneur en alcool.