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Le virus Ebola pourrait persister dans le sperme de certains survivants à l'infection durant au moins neuf mois, soit bien plus longtemps que ne le pensaient les virologues, selon une recherche publiée mercredi 21 octobre. Le suivi médical doit être plus long. Il s'agit de la première étude de ce type effectuée sur le long terme, qui montre que des fragments du virus peuvent rester durablement dans l'organisme de personnes guéries, présentant un danger pour leurs conjoints qu'ils peuvent contaminer. Les survivants devraient avoir leur sperme testé deux fois négatif pour Ebola avant d'avoir des relations sexuelles ou sinon utiliser un préservatif, recommandent ces autorités sanitaires.