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Le Kenya enregistre environ 3. 000 nouveaux cas de fistule obstétricale chaque année, et seules 7, 5 % des femmes affectées sont en mesure d'accéder à des soins médicaux, ont rapporté vendredi 4 juillet des responsables du principal hôpital du pays. Le directeur général de l'hôpital national de Kenyatta a déclaré à Nairobi que cette incidence des fistules restait très élevée dans le pays en raison du faible accès à des services de santé génésiques de qualité, ainsi qu'en raison du faible niveau d'alphabétisation. Chaque année, de 50 000 à 100 000 femmes dans le monde sont touchées par une fistule obstétrique, c'est-à-dire d'une perforation de la filière pelvienne.