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Au Burkina Faso, environ 105 000 cas d’avortements clandestins ont été répertoriés, selon un rapport d’étude de l’Institut supérieur des sciences de la population. La loi autorise l’avortement à certaines conditions, mais elle est peu connue par les femmes comme un chercheur à l’Institut supérieur des sciences de la population. L’avortement est autorisé en cas de viol, en cas d’inceste ou bien en cas de malformation fœtale. Ou bien si la femme est dans des conditions de santé qui ne lui permettent pas de mener à terme sa grossesse. Selon le rapport, il faut renforcer les programmes de planification familiale afin de réduire la survenue de grossesse non intentionnelle, et par conséquent, le besoin d’avorter.