fév 06, 2010
Les témoignages des femmes qui ont survécu aux violences sexuelles au cours des conflits post-électoraux en 2008 au Kenya devraient être entendus, selon les défenseurs des droits humains. L'ampleur des crimes commis contre les femmes, en raison de leur sexe, doit être enregistrée et faire l’objet de poursuites pour éviter que de telles violences se reproduisent, assurent-ils. Selon la directrice exécutive de la Fédération des Femmes Juristes, le constat établi est qu’il n'y a aucune intention politique d’assurer que les auteurs des violences basées sur le genre et des violences sexuelles seront amenés à rendre des comptes.
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