déc 22, 2011
Le 7 décembre dernier, Nicolas Sarkozy recevait André Rajoelina. Dans la contexte de crise politique que connaît Madagascar, la société civile malgache a tenu à interpeller au président français sur les exigences de sortie de crise pour un pays qui, « depuis le coup d’Etat du 17 mars 2009, se trouve dans un Etat de non-droit où règne la « raison du plus fort », favorisant «l’impunité, l’anarchie et la prébende à tous les niveaux».