Malgré les campagnes de sensibilisation et les actions d’éclat notées ici ou là, comme les déclarations d’abandon de l’excision par certaines communautés, les mutilations génitales féminines restent répandues en Afrique. L’annonce selon laquelle 350 filles sont en instance de se faire exciser au Kenya a poussé Pierrette Herzberger-Fofana a tirer le signal d’alarme. Pour elle, «on peut être une Africaine respectueuse des coutumes ancestrales sans pour autant s’adonner à une pratique qui nuit à...lire la suite
Malgré les campagnes de sensibilisation et les actions d’éclat notées ici ou là, comme les déclarations d’abandon de l’excision par certaines communautés, les mutilations génitales féminines restent répandues en Afrique. L’annonce selon laquelle 350 filles sont en instance de se faire exciser au Kenya a poussé Pierrette Herzberger-Fofana a tirer le signal d’alarme. Pour elle, «on peut être une Africaine respectueuse des coutumes ancestrales sans pour autant s’adonner à une pratique qui nuit à la santé des filles et des femmes».