L’héritage de l’ex-président Laurent Gbagbo, emprisonné à la Cour pénale internationale, divise son parti, que les diplomaties étrangères veulent voir participer à la présidentielle de 2015, une élection cruciale pour un futur apaisé de la Côte d’Ivoire. Deux camps s’affrontent au sein du Front populaire ivoirien, la principale formation d’opposition, créée en 1986 par Laurent Gbagbo. L’enjeu est primordial pour la Côte d’Ivoire, qui se doit de réussir cette élection pour rêver d’un futur cal...lire la suite
L’héritage de l’ex-président Laurent Gbagbo, emprisonné à la Cour pénale internationale, divise son parti, que les diplomaties étrangères veulent voir participer à la présidentielle de 2015, une élection cruciale pour un futur apaisé de la Côte d’Ivoire. Deux camps s’affrontent au sein du Front populaire ivoirien, la principale formation d’opposition, créée en 1986 par Laurent Gbagbo. L’enjeu est primordial pour la Côte d’Ivoire, qui se doit de réussir cette élection pour rêver d’un futur calme, après une décennie de crise politico-militaire. Les chancelleries présentes dans le pays poussent le parti pro-Gbagbo à y participer, afin que l’ensemble des tendances soit représentées, ce qui rendrait le résultat du scrutin indiscutable.