Mali

Le procès du capitaine Amadou Haya Sanogo, présumé innocent dans l’assassinat des bérets rouges, aura lieu d’ici la fin de l’année 2014. Après étude du dossier, le parquet général pourrait alors décider d’ouvrir un procès. Parmi la quinzaine de militaires inculpés dans cette affaire figure le capitaine Amadou Haya Sanogo, accusé de «complicité d’enlèvement et d’assassinat» après la disparition d’une vingtaine de parachutistes fidèles à l’ex-président Amadou Toumani Touré, qui avaient tenté un...lire la suite

Le groupe jihadiste Al-Mourabitoune, de l'Algérien Mokhtar Belmokhtar, a revendiqué auprès de l'agence de presse privée mauritanienne Alakhbar, la mort du soldat français tué le 14 juillet dans le nord du Mali. L’attaque-suicide visant les forces françaises déployées dans la région de Gao avait aussi fait plusieurs blessés graves. Il s’agit de la première attaque-suicide dans laquelle un soldat français est tué au Mali. Une explosion qui avait fait aussi plusieurs blessés, dans la région de Gao.

Le jeudi 17 juillet, la coalition du Mouvement national de Libération de L'Azawad (Mnla), du Mouvement arabe de l'Azawad (Maa) et du Haut Conseil pour l'unité de l'Azawad (Hcua) a présenté aux autorités maliennes et aux médiateurs de la communauté internationale, une feuille de route, saluée par les partenaires internationaux comme une initiative « précise et sérieuse ». Pour cette nouvelle journée du dialogue inter-malien, la surprise est venue de Bamako, qui n’a mis sur la table aucune prop...lire la suite

A la veille du 14 juillet, la France a acté officiellement la fin de l’opération Serval au Mali et son remplacement dans les prochains jours par «Barkhane», une opération plus large et permanente de lutte contre le terrorisme au Sahel, qui mobilisera 3.000 militaires français. Ce basculement du dispositif militaire au Sahel était dans les tuyaux depuis plusieurs mois mais avait dû être reporté fin mai en raison d’un regain de tension dans le nord du Mali. Lancée le 11 janvier 2013 pour stoppe...lire la suite

Selon un communiqué du gouvernement malien, la situation sécuritaire dans le nord du pays se dégrade. Des groupes armés non-observés avant occupent désormais le terrain, prenant possession de certaines localités. Sur place, des sources sécuritaires proches de la mission de l'Onu confirment cette information et vont même plus loin : les jihadistes sont de plus en plus souvent de retour et s'infiltrent parmi les populations. L'objectif est clair, reprendre dès que possible les armes.

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