Angola

Avec la Révolution des œillets au Portugal, le 25 avril 1974, s'ouvre une page dans l'histoire de ce pouvoir colonial et de ses colonies d’alors. L’Angola entre dans un processus de décolonisation qui lui conduit à l'indépendance le 11 novembre 1975. Pendant ce processus de transition, nombreux ont été les espaces de participation ouvertes aux Angolais. Des commissions ont été ainsi créées dans tous les domaines, pour les étudiants, les travailleurs, etc. Les espérances liées à la constructio...lire la suite

Les Services angolais de l'immigration et des étrangers (SME) ont rapatrié dès la fin du mois de septembre au moins 228 étrangers qui se sont installés illégalement dans la province de Lunda Norte (nord) en Angola, a déclaré le 8 octobre un responsable des SME. Parmi les 228 immigrés clandestins, 195 venaient de la RDC, 18 de la Guinée, sept du Mali, quatre de la Côte d'Ivoire, trois de la République du Congo et un de la Guinée-Bissau.

Le parti au pouvoir en Angola, le MPLA, a largement remporté les élections législatives du 5 septembre avec 81,64% des voix, soit un total de 191 députés sur 220, selon les résultats définitifs annoncés le 16 septembre par la Commission nationale électorale (CNE). Son principal opposant, l'Union nationale pour l'indépendance totale de l'Angola (Unita), a obtenu 10,39% des suffrages, a annoncé le président de la CNE.

L'Angola va assumer, à partir de janvier 2009, la présidence rotative de l'Organisation des pays exportateurs de Pétrole (OPEP) à la suite de la nomination, le 11 septembre, de son ministre Desidério Costa. M. Costa, qui aura pour vice -président Galo Chiriboga, ministre équatorien des Mines et de l'Energie, a été nommé lors de l'assemblée ministérielle de l'Organisation, clôturée le 10 septembre à Vienne, en Autriche.

Pour la première fois depuis quinze ans, l’Angola a connu des élections des législatives le 5 septembre. Les dernières élections, en 1992, avaient débouché sur une reprise de la guerre civile. Ce scrutin parlementaire, remporté par le parti au pouvoir, le MPLA, constituait un test crucial pour ce pays qui présente la plus forte croissance économique au monde.

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