L’aéroport Jomo Kenyatta de Nairobi, capitale du Kenya, à une heure de vol en moyenne de la plupart des grandes villes de l’Afrique de l’Est, a brusquement pris feu, mercredi 7 août. La compagnie Kenya Ariways, déjà fragilisée par une conjoncture peu favorable, a réduit jusqu’à 65% de ses dessertes dans les trois premiers jours. L’aéroport en question évaluait ses pertes à 200 000 dollars par jour, en autant de manque à gagner dans les droits de trafics et prestations diverses. Ce sont 16 ...lire la suite
L’aéroport Jomo Kenyatta de Nairobi, capitale du Kenya, à une heure de vol en moyenne de la plupart des grandes villes de l’Afrique de l’Est, a brusquement pris feu, mercredi 7 août. La compagnie Kenya Ariways, déjà fragilisée par une conjoncture peu favorable, a réduit jusqu’à 65% de ses dessertes dans les trois premiers jours. L’aéroport en question évaluait ses pertes à 200 000 dollars par jour, en autant de manque à gagner dans les droits de trafics et prestations diverses. Ce sont 16 000 voyageurs qui transitent tous les jours via ce hub. Les déprogrammations de vols ont bénéficié aux aéroports de Mombassa, de Dar es Salm et d’Entebbe.