jan 18, 2016
Des dizaines de réfugiés namibiens qui devaient rentrer dans leur pays au plus tard le 30 décembre 2015, ont fait part de leur crainte d’être torturés par les autorités namibiennes à leur retour au pays. Selon des documents judiciaires, l'un d'entre eux, Felix Kakula, a accusé le gouvernement namibien d'être ce qu'il a appelé «un transgresseur connu» de ses obligations en vertu de la Convention sur les réfugiés, une Convention des Nations Unies contre la torture et autres traitements cruels, inhumains ou humiliants.
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